3 avril 2007
Ecrire pour oublier
Je me sens comme une étoile qui a perdu ses branches. Tout est extrême, brutal, aigu. "Nous" ne reviendra pas. La vie m'a pris mes étincelles.
Je sens ce grand vide qui attend un appel, un murmure, mon doux prénom... au creux de l'oreille.
Toutes mes luttes pour ne pas partir depuis deux ans se détachent en lambeaux. Y a t-il une peau neuve sous la crasse des mensonges?
Publicité
Publicité
Commentaires